Didier Durandy est consultant dans le domaine des ressources humaines. Il a déjà publié plusieurs ouvrages sur ce thème et il est aussi connu sur la presqu’île puisqu’il est notamment à l’origine de l’association Prisme à La Turballe. Son cinquième livre vient de sortir et il est consacré à la numérologie. La théorie des sept clés nous invite à nous questionner sur l’utilisation que nous faisons de chacune d’entre elles, afin de mieux nous connaître pour bien prendre notre vie en main. Nous pourrons ainsi donner du sens à nos actions et nous réaliser en optimisant l’utilisation de nos talents et de nos qualités. La spécificité de cet ouvrage réside dans l’utilisation résolument dynamique et stratégique de la numérologie comme outil innovant de développement personnel. Il a été rédigé avec Lydie Castells, ancienne chef d’entreprise, qui a élaboré une méthode fondée sur la numérologie (arbre de vie et triangle fondamental) pour aider ses clients à comprendre leur vraie nature et à passer du mode spectateur au mode acteur.
Didier Durandy : L’astrologie se concentre sur la date de naissance. Je suis du 30 décembre et je suis Capricorne. C’est un signe sur 12, soit 600 millions de personnes sur plus de 7 milliards d’habitants. Si vous prenez le 30 décembre, vous descendez de 600 millions à 20 millions : donc, il y a 20 millions de personnes qui sont nées le même jour que moi. Mais cela ne donne toujours pas grand-chose. L’astrologie est intéressante, parce qu’elle s’appuie sur les mouvements des astres, mais elle n’est pas personnelle. La numérologie s’intéresse aux vibrations de vos chiffres, mais aussi à votre nom. Si l’on prend 20 millions de personnes nées le 30 décembre et si l’on ajoute mon nom, on passe à 1 sur plus de 7 milliards. Il n’y a qu’une personne née le 30 décembre qui s’appelle Didier-Jacques Durandy !
Mais qu’est-ce que cela changerait si vous vous étiez appelé Pierre ou Paul ?
J’ai entendu des milliers de fois mon prénom depuis que je suis né, ce sont des vibrations qui vous atteignent. Cela ne sonne pas pareil musicalement. Les Hébreux n’avaient pas de chiffres dans la kabbale, ils associaient les 22 lettres de leur alphabet à des sons, donc il y a déjà des recherches qui datent depuis très longtemps. L’étude du chiffre date d’à peu près 10 000 ans. Pythagore a dit que le monde est nombre. C’est le premier à avoir fait une recherche scientifique sur les nombres